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 HANNAH KAHN-EDELSTEIN (adelaide kane)


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Hannah Kahn-Edelstein

Hannah Kahn-Edelstein
À SF depuis : 23/08/2017
Messages : 25 Dollars : 4




hannah eve kahn-edelstein
« nobody said it was easy »



NOM(S) C'est parfois l'histoire d'un tout, l'histoire d'un rien. Une idée préconçue depuis le tout départ. Pour un oui, pour un non comme on se dirait allons-y pour le meilleur et pour le pire. Son patronyme c'est la force de l'union des liens, l'esprit grandissant d'une fierté toute familiale. Kahn-Edelstein, un nom peu commun, certes, mais qui a su se faire sa place sans aucun doute.  PRÉNOM(S) Rien à faire - comme tout le monde ou presque - elle n'a pas eu son mot à dire. Hannah Eve, voilà ce qui a été notifier sur son acte de naissance. Si vous en cherchez les moindres détails, son paternel vous dirait que son prénom courant est issue de l'un roman favoris de jeunesse de sa mère, le second un simple de voir de mémoire d'une femme partie bien trop tôt. ÂGE Le quart de siècle tout juste et fraichement dépassé depuis une année révolue. Elle ne s'intéresse plus du tout à compter, elle ne s'est jamais réellement focalisé sur les bougies de son gâteau. A vingt-six ans au compteur, pourquoi cela changerait après tout ? DATE ET LIEU DE NAISSANCE  Bourrasques de vent salé, fin d'une chaleur étouffante et presque la fin de l'été. Elle est née le trente-et-un aout, à San Francisco.  NATIONALITÉ Américaine aussi simple que de dire hello Darling. STATUT CIVIL Voila le véritable sujet qui fâche, du moins sur le plan personnel des sentiments ! Allons donc, vous êtes bien curieux. L'amour, elle s'en détache le plus loin possible, les hommes ne sont qu'une source éternelle d'ennuis. Son passé en témoigne, elle n'a plus confiance en l'amour, un terme qu'elle bannie haut et fort. Pour autant, son statut de maman célibataire fait tout son bonheur. C'est l'unique chose qui compte à ses yeux.  ORIENTATION SEXUELLE Tolérante à souhait sans le moindre doute, elle n'en demeure pas moins toujours attiré par la gent masculine quand bien elle se méfie de cette dernière comme de la peste. MÉTIER Personne ne s'étonne du chemin qu'elle a entreprit et encore moins de la carrière à laquelle elle s'est destinée. A dire vrai, elle s'en ait donné les moyens mais cela n'a pas été sans efforts. Diplôme de linguistiques étrangères en poche, elle a finit par travaillait au sein d'une maison d'édition en tant qu'interprète/traductrice. Une place où elle s'épanouie et surtout un objectif atteint.  CLASSE SOCIALE Issue d'un milieu relativement modeste, la brune a toujours eue conscience du monde qui l'entoure. Un brin trop tôt - certes - mais vaut il mieux que trop tard. Une manière de raisonner qu'elle conserve toujours en tête, même si aujourd'hui on peut dire qu'elle sort pas trop mal.  CARACTÈRE Douce, attentive, réservée, généreuse, responsable, prudente, tolérante, patiente, méfiante, féministe, ambitieuse, volontaire, dynamique, sportive, un brin garçon manqué, naturelle, optimiste ...


Les bouquins, à la fois un domaine et une passion qu'elle maitrise sur le bout des doigts. C'est aussi l'ancre qui favorise la compagnie d'une bulle, qu'elle a toujours trainée un peu partout avec elle. Sur ses étagères, il   n'y a plus de place et même s'il y en avait vous en retrouverez un peu ici et là dans son appartement, dans son sac et même dans son téléphone portable. Lire, c'est depuis qu'elle en âge de regarder, de lire, de créer. Un passe-temps qu'elle a toujours partagé avec sa cadette. ▪  Les salopettes – short, jupe ou pantalon – en jean ont toujours été un peu ça marque de fabrique. Si du coté vestimentaire, elle est plutot fidèle à ses envies, il n'en demeure pas moins que sa politique personnelle c'est d'être à l'aise dans ses baskets. Elle en porte dès qu'elle en a l'occasion. Les on-dit et les rumeurs de ruelles peuvent prendre la porte. ▪ Avant dernière d'une fratrie de cinq où tout n'a pas toujours été rose. Pourtant, tels les cinq doigts d'une main, ils n'en demeurent pas moins extremement soudé. Avant dernière de la famille, la brune a souvent été celle ayant le rôle de médiateur, celle dont le calme et la maturité sont de mise pour temporiser un peu les tensions et les disputes. La famille est très importante pour elle, un pilier certain sur lequel elle peut entièrement se reposer. ▪ Elle porte des lunettes de vue depuis la petite enfance. Une paire de verre – presque des loupes où l'on peut dire merci à la nouvelle technologie – qu'elle ne porte que pour éviter de se fatiguer les yeux. Un accessoire indispensable surtout lorsqu'elle travaille tard dans la soirée. ▪  Indépendante et un brin effacée – contrairement à ses frères et sœurs –, c'est dans un certain de gré de silence que la brune à fait le deuil de son père. Son absence à laisser le champ libre pour developper sa matrurité et son sens des responsabilités. Débrouillarde, elle se pliera toujours en quatre pour ses proches, ceux qu'elle estime beaucoup. Néanmoins, lorsqu'il s'agit d'elle-même rare sont les fois où elle demandera de l'aide. ▪ Aucune difficulté pour elle d'user de divers langages. La linguistique est son domaine de prédilection, une assiduité qui lui permet de gravir les échelons tout en prenant du plaisir à s'épanouir dans sa carrière professionnelle. Elle parle en effet plusieurs langues étrangères à savoir : le français, l'éspagnol, le danois et le japonais. Elle a commencée l'étude du grec et du russe pour des connaissances personnelles. ▪ A l'instar de l'ensemble de la population, elle ne peut déroger à la règle de la caféine. Il lui faut sa dose le matin, ce n'est pas une règle ni une obligation mais tout simplement une habitude. Sa boisson de prédéliction ? Un bon cappuccino au caramel il n'y a que cela de vrai. Avec ce liquide amer et sucré à la fois vous êtes certains de faire mouche. ▪ Grâce à l'excellence de ses résultats scolaires – ainsi qu'a ses aptitutes sportives dans l'equipe d'athétisme qu'elle a pu bénéficier d'une bourse d'étude. Cette dernière payant tout juste ses frais de scolarité, elle cumulait également un petit job en tant que serveur dans un café en dehors des cours. Acceptée dans de nombreuses facultés du pays, elle a néanmoins décidé de rester à San Francisco pour effectuer son cursus supérieur. ▪ La vie en communauté ne l'a jamais grandement effrayée, bien au contraire elle en a l'habitude. La preuve, elle vit en colocation avec ses deux meilleurs amis. En depit de la collectivité, elle sait aménager son petit coin et ce sans déranger personne. ▪ Lors de sa dernière année d'étude, elle est tombée soudainement enceinte. Une grossesse imprévue, inattendue qui bouleverse un peu tout  et tout le monde. Le père de l'enfant en trop autre chose. Ce dernier prend la pourdre d'escampette et n'a plus jamais donné de nouvelles. ▪ Fière maman d'une petite fille prénommée Mia, la jeune femme prend très à cœur son rôle de figure maternelle. Un modèle de force ? Elle n'en a jamais manqué. Telle mère, telle fille, ces deux là sont particulièrement complice au possible. Du haut de ses quatre ans, la fillette est une enfant posée et extrêmement timide mais dont l'imagination est débordante. ▪ Certains sortent les mouchoirs devant les comédies dramatiques, d'autres serrent des coussins pour tempérer leur peur, elle c'est devant un bon film d'action qu'elle se regale. Fast and Furious, Taken, Le Parrain and cie seront au rendez-vous. D'ailleurs, ses frères ainés étaient bien souvent les premiers à venir squatter devant la télévision avec elle. ▪ La confiance. Un mot qui n'est pour elle qu'un tas de fumée qu'il est impossible d'attraper. Plus maintenant, plus jamais. Elle tient ferme sur sa rive et ne reviendra pas dessus. La souffrance a laissée des stigmates chez elle, comme une cicatrice intérieure. La vie à deux, elle ne se l'autorise plus vraiment, n'y songe même pas. Son statut de maman, sa carrière, son entourage, le trioplet gagnant loin des déchirures – ou pas.




sfmoma
adelaide kane
freesia


SF, tu l'aimes ou tu la quittes Pour y être native, pour y avoir vécue. Pour un passé et même un actuel présent, elle ne saurait réellement se pencher sur son avenir sans songer à y rester. San Francisco c'est le berceau d'un départ, d'un tas de souvenirs qui bons comme mauvais ont forgés celle qu'elle est devenue. Prétendre qu'elle n'a jamais penser à vivre ailleurs serait mentir, elle en a envie mais la famille, le quotidien sont des sécurités, des piliers existentiels qui sont enracinés au sol comme les racines d'un arbre. SF un jour, SF toujours après tout.

tell me something i don't know PSEUDO blue bird. PRÉNOM audrey. ÂGE la vingtaine passée et dépassée. PAYS france. INVENTE/SCENARIO personnage inventé.  OÙ AS TU CONNU LE FORUM? bazzart CRÉDITS tumblr. DOUBLE COMPTE ? aucun.

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Hannah Kahn-Edelstein

Hannah Kahn-Edelstein
À SF depuis : 23/08/2017
Messages : 25 Dollars : 4


I know a sad story

nobody said it was easy.
Où vont les rêves une fois que tout est terminé ? Et qui peut bien guider une âme une fois les paupières closes ? Ne t'inquiète pas, tout va bien Han. Il dort à tout jamais, appartient à un monde meilleur et plus encore il veille sur nous, sur toi. Tu les entendais ses paroles, la voix de ton frère ainé masquant les pleurs redondants de votre mère. Meurtrie à l'intérieur comme l'extérieur, elle ne prenait pas soin de donner le change. Elle se contentait de laisser libre cours à sa douleur tandis que Gabriel tentait de son mieux de prendre le choses en main. La main de Vee n'avait jamais cessée de serrer la tienne comme pour souligner d'un geste la souffrance qui profite encore de son vol. Elle finira par atterrir, ne t'en fais pas, aurais-tu voulu lui dire mais aucun mot ne sortaient de ta bouche. Tu étais encore une gamine et pourtant déjà les stigmates de la réalité flirtent avec ta conscience, dansent dans l'éclat sombre de tes pupilles. Debout devant la pierre tombale en marbre noir, les yeux figés sur les lettres dorées ornant l'épitaphe, tu demeures immobile alors que le temps passe. Il s'écoule lentement comme les grains d'un sablier qui n'en finissent pas. La brise du vent faire virevolter les mèches rebelles qui ce sont échappées de ta tresse. Pas une larme, pas une seule et pourtant tout est synonyme d'un combat intérieur. Une lutte contre laquelle tu te dois de faire pour avancer pas à pas. Au loin, l'entourage proche – ou lointain – de votre famille discute. Certains étouffent leur crise de larmes, d'autres se laissent submerger par la tourmente jusqu'à se morfondre. Il y a ceux qui soutiennent la famille sincèrement et ceux qui ne sont là que par pure politesse. Ces derniers sont reconnaissable à des kilomètres à la ronde. Tous ces bruits, ces bavardages … des fonds sonores insupportables. Malgré tout, tu en fais aisément abstraction comme pour recouvrer un semblant d'intimité entre toi et ce père disparu trop tot, trop vite. Tu fermes les yeux et murmure le refrain entrainant d'une composition française. Une chanson qui a sa signification, son instant de partage et de complicité. En la murmurant pour toi-même, tu as l'impression d'entendre le son de sa voix. Papa est toujours là, tu le sais. Au bout de quelques minutes – peut être plus – tu sens deux bras puissants te soulever pour te porter, mais tu n'en fais rien. Tu sais qu'il s'agit de ton grand-frère venu te chercher. « On reviendra le colibri, je te le promet. ». Ce surnom, encore. Te dit-il tout en caressant ton dos alors que tu déposes ton menton sur son épaule. Gabriel ne te faisait jamais de promesses en l'air, ne t'avait jamais menti. Il vous protégeait avec bienveillance mais beaucoup de responsabilités reposaient sur lui désormais. Et les rêves de papa, où vont-ils Gabriel ? Il avait conservé le silence lorsque tu lui avais posé la question et l'un des jumeaux avait rétorqué en un timide sourire : c'est à nous de les vivre pour lui Han.


En Sicile, les femmes sont plus dangereuses que les coups de fusils. Ces paroles, tu les murmurais à chaque fois. Tu les connaissais par cœur, chaque scène de ce film étaient culte et tu avais beau le regarder en boucle depuis des années, tu ne t'en lassais jamais. «[color:a350=#darkred] A quoi ça sert qu'on regarde ce film, ça rime à rien.
 ». Tu tends le bras pour poser la paume de ta main sur la bouche de ton meilleur ami. Ce dernier avait perdu votre pari en misant tout sur match de basket. Ta victoire était à savourer mais par manque de fatigue tu ne voulais pas trop en faire non plus. Le seul moyen que tu avais trouvé pour l'embêter un peu c'était de le faire visionner encore – une énième fois – le Parrain. Tu ne comptais plus le nombre de fois où tu l'avais regardé que cela soit en compagnie de tes frères ou encore de Cole. Assis dans l'angle du canapé, il jouait avec ta chevelure noire comme une habitude pour masquer son ennui. Un geste qui ne t'a jamais interpellé plus que cela, après tout c'était si coutumier que tu ne relevais pas le moindre indice entre les lignes. « Tu devrais en prendre de la graine, tu sais. ». Répliques-tu d'une intonation moqueuse. Tu peux le sentir secoué la tête d'un mouvement négatif mais qui n'en demeure pas moins amusé pour autant. C'est ce que tu appréciais chez lui. Pouvoir être toi-même sans avoir aucune crainte d'être blesser, sans aucune ambiguïté. Il te comprenait comme il entendait chacun de tes non-dits comme s'il semblait tout déchiffrer de ta personne – ou presque. Tu repousses tes lunettes de vue qui ont légèrement glissées sur le bout de ton nez, l'attention toujours fixée sur l'écran plat de télévision. Les minutes s'écoulent et les images qui défilent sur l'écran te happent avec elle. Le générique de fin s'élève à son tour derrière ce vieux fond d'écran noir. « Ne prévois rien pour la fin de semaine. ». Son timbre de voix joueur au possible, comme s'il avait déjà tout planifier, tout prévu à l'avance. Aucune pointe d'interrogation, non pas la moindre. Tu te redresses pour lui faire face où toujours confortablement installé il te toise avec cette moue emplit d'assurance. « C'est quoi ce délire encore ?! Franchement, ce n'est pas drôle. J'ai du boulot, je me suis arrangé pour que ma mère garde Mia et ... ». Tu n'auras pas le temps de finir ta phrase que le blondinet te couple l'herbe sous le pied en posant deux doigts sur tes lèvres. « Et tu as une vie à vivre ma grande. ». Cole semble avoir décidé de revêtir le sérieux de sa personnalité, ce qui impose à chaque fois le silence entre vous. D'ordinaire, il est ce gars ambitieux, décontracté et bon vivant que tout le monde connaît. Un charme communicatif et solaire qui suffit à nuancer son environnement. Seulement, tu n'es pas dupe de la surface qu'il dépeint lors de ses instants de là. Tu le connais par cœur, si ce n'est mieux que lui même – et inversement – parfois. « Ecoute, il faut que tu te poses un peu. En ce moment tu es sur tout les fronts et il faut savoir appuyer de temps en temps sur pause ma belle. ». C'est vrai, mutuellement vous songiez l'un à l'autre comme les mêmes facettes d'une seule et unique pièce. Certains doutaient même encore de votre amitié masculine/féminin et pourtant la preuve était sous leurs yeux en vous observant. Cole glisse une main sur ta joue avant de rabattre une mèche derrière ton oreille. Son regard clair est intense, laissant un murmure en silence une profondeur qu'il est prêt à partager. Ce serait-il passé quelque chose ? Te cacherait-il des choses ? Jusque là, Cole ne t'avait aucunement dissimuler les échanges qu'il avait pu avoir avec son frère. Après tout, ce dernier avait beau être le père de Mia, il n'en restait pas moins un étranger dans vos vies respectives. « Il faut que je te parl – ... ». La porte de l'entrée claque, empêchant ton meilleur ami de finir ce qu'il s'apprêtait à te dire. « Hé ! Oh ! ». Un grain de voix tonnant et criard ? Aucun doute, il s'agit de Molly. Ta meilleure amie – et troisième colocataire – avait toujours le chic pour faire des entrées étonnantes et originales. « Tiens, tiens … Loulou et chouchou ont commencés la soirée sans moi ? ». Cole mime une grimace enfantine qui trahit sa vulnérabilité masquée. « Ce soir, c'est soirée Sex and City personne ne résiste à Samantha ! Elles sont quatre mais on est trois, t'es partant ? ». Il se lève du canapé les deux mains levées en avant en guise de drapeau blanc. « Sans moi, j'ai déjà donné pour la fin de soirée ! ».
 
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Meadow Leiningen

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la famille la plus nombreuse s'agrandit HANNAH KAHN-EDELSTEIN (adelaide kane) 2964543094
bienvenue sur TGC et bon courage pour ta fiche HANNAH KAHN-EDELSTEIN (adelaide kane) 3009596972 HANNAH KAHN-EDELSTEIN (adelaide kane) 1073889995
si tu as la moindre question n'hésites pas HANNAH KAHN-EDELSTEIN (adelaide kane) 1553330960
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Leo McKinney

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Si tu as la moindre question n'hésites pas à contacter le staff :p
Et bon courage pour ta fiche HANNAH KAHN-EDELSTEIN (adelaide kane) 2742357312
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Hannah Kahn-Edelstein

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merci beaucoup à vous HANNAH KAHN-EDELSTEIN (adelaide kane) 875493864
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Alva Hansen

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Bienvenue sur le foruuuuuuuum HANNAH KAHN-EDELSTEIN (adelaide kane) 1446957637 bon courage pour la rédaction de ta fiche ! Hésite pas si tu as la moindre question, on est là pour y répondre I love you HANNAH KAHN-EDELSTEIN (adelaide kane) 164030943
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Hannah Kahn-Edelstein

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