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 asteria manning (josephine skriver).


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her spirit is wild, her soul is free.
Asteria Manning

Asteria Manning
her spirit is wild, her soul is free.
À SF depuis : 20/12/2016
Messages : 1189 Dollars : 365




Asteria Roxana Isobel Manning
« her lips are like the galaxy's edge. »



NOM(S) Manning, nom qui n'a rien de spécial. Juste qu'il est relié à un architecte populaire des États-Unis. On le reconnaît simplement lorsque la personne s'intéresse aux bâtiments ou à l'architecture. PRÉNOM(S) Asteria parce que sa mère désirait un prénom qui faisait penser aux étoiles. Le deuxième prénom Roxana en lien avec ses origines allemandes de sa mère. Prénom qui appartenait à une arrière-arrière-grand-mère dont Asteria ignore l'existence, juste qu'elle porte son prénom. Isobel pour la sœur que son père a perdu lorsqu'il avait 21 ans. Il s'était promis. Il l'a fait. ÂGE 24 ans et si, avant, Asteria était terrifiée à l'idée d'atteindre le quart du siècle, ce n'est plus le cas maintenant. Elle n'a plus peur de vieillir Asteria. DATE ET LIEU DE NAISSANCE Asteria est née le 6 août, c'est une lionne. Elle célèbre son anniversaire toutes les années depuis 1993. Asteria est née à Los Angeles en Californie. NATIONALITÉ Américaine bien qu'elle soit un beau mélange. Sa mère est originaire de Berlin en Allemagne ce qui lui donne des origines allemandes tandis que son père a des origines néerlandaises et australiennes. STATUT CIVIL En faux-couple avec un ami pour les apparences et lorsque c'est nécessaire. En relation avec un homme fiancé prénommé Samaël. ORIENTATION SEXUELLE Hétérosexuelle. Asteria a déjà embrassé une demoiselle, mais elle n'a pas aimé. Les femmes? Ce n'est pas pour elle bien qu'elles soient jolies. MÉTIER Apprentie journaliste au magazine Lolita et blogueuse du blog moonlightchild. CLASSE SOCIALE Aisée par sa famille. Toute seule, elle est dans le seuil moyen. CARACTÈRE passionnée, rancunière, souriante, bornée, intelligente, jalouse, indépendante, aimable, compétitive, franche, rusée, déterminée, charmeuse, altruiste, sarcastique, amusante, maladroite, rangée, bavarde, ambitieuse, intolérante, ricaneuse, méfiante, extravertie, curieuse, sincère et mauvaise perdante.


Asteria est enfant unique. ✻ À San Francisco depuis trois ans. ✻ Vérifie toujours trois fois si la porte est verrouillée sinon elle est incapable de s'endormir. ✻ Debout tous les matins à 6 am, elle va courir avant de se préparer un smoothie qu'elle boit sur le chemin jusqu'au boulot. ✻ Est très active sur les réseaux sociaux et son blog. ✻ A longtemps fait des concours de beauté. ✻ Dort dans une noirceur complète. La moindre lumière l'empêche de dormir. ✻ A peur des clowns. ✻ Mange que des aliments biologiques. ✻ Est tombée en amour deux fois. ✻ Rêve de visiter la Thaïlande depuis toujours. Elle n'en a jamais eu l'occasion. ✻ Allergique aux poils animaux. ✻ Déteste la couleur verte. ✻ Aime les films Disney comme une enfant. ✻ A un tatouage derrière l'oreille. ✻ A fait un changement de caractère passant de la princesse froide à une personne plus chaleureuse. ✻ Aime les films Italiens. ✻ Porte régulièrement du noir. ✻ Joue du violon. ✻ Peut lécher son coude avec sa langue. ✻ Tortille une mèche de cheveux si elle s'ennuie ou réfléchit. ✻ Aime se sentir féminine d'où pourquoi elle aime bien enfiler des vêtements la mettant en valeur. ✻ Accro à Pinterest. ✻ Boit seulement de la Vodka. ✻ Ne prends plus le volant depuis un accident qui la laissé avec un traumastime. ✻  Déteste le café et préfère largement les thés. Sauf que cela ne l'empêche pas de se faire des masques au café. ✻ Elle ne croît pas en Dieu. ✻ Déteste les piments verts, trouve qu'ils manquent de goût. ✻ A toujours la doudou de son enfance sur son lit. ✻ Prends des photos d'absolument tout parce qu'elle a peur d'oublier. ✻ Porte une bague autour du majeur gauche qui lui a été offert par une vieille dame lors d'un voyage en Islande. ✻  Dessine lorsque l'envie lui prends. ✻ Prends toujours mille ans pour s'habiller. ✻ Rends visite à son père deux fois par mois, pour un week-end complet à Las Vegas. ✻ A souffert d'anorexique durant son adolescence. ✻  Aime le son de la pluie. ✻ À l'âge de huit ans, elle s'est retrouvée avec un nez fracturée par accident. ✻ Passe son doigt sur sa petite cicatrice situé sur son menton cinq fois par jour. ✻ Chante et danse en nettoyant ou sous la douche. ✻ Asteria n'est pas pudique et aime bien se promener en sous-vêtements lorsque ses colocataires ne sont pas là. ✻ A toujours des lunettes de soleil avec elle, peu importe la saison.




cable cars
josephine skriver
sweet disaster


SF, tu l'aimes ou tu la quittes Il existe plusieurs raisons expliquant la venue d'Asteria à San Francisco. La première étant que la jeune femme désirait avoir son indépendance et ne plus vivre sous la dictature de sa mère. La seconde est la curiosité de rencontrer cette ville. Finalement, la dernière est les études de journalisme. Depuis ce temps, Asteria est tombée sous le charme de la ville et ne compte plus la quitter.

tell me something i don't know PSEUDO loyals, pour toujours et à jamais. PRÉNOM sarah. ÂGE dans la vingtaine. PAYS winter is coming. INVENTE/SCENARIO inventé. OÙ AS TU CONNU LE FORUM? dude stp. CRÉDITS sweet disaster/av & soft parade/gifs. DOUBLE COMPTE ? nop.

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her spirit is wild, her soul is free.
Asteria Manning

Asteria Manning
her spirit is wild, her soul is free.
À SF depuis : 20/12/2016
Messages : 1189 Dollars : 365


I know a sad story

you don't know my story.
LOS ANGELES, CALIFORNIA.
12 juillet 2001, eight years old.

« Asteria ! » La voix autoritaire de sa mère s’élevait dans les airs, faisant taire tous les bruits de la pièce. Sa mère avait ce don d’imposer sa présence dans le silence puis de l’imposer par le son. Elle avait fonctionné de cette manière depuis toujours. Asteria savait parce que son père le lui avait dit. Chaque fois qu’elle pleurait dans son placard à linge et qu’il venait la retrouver, il lui disait que sa mère avait été conçue de cette manière. Que même elle n’allait pas arriver à la changer et qu’au fond, elle l’aimait à sa manière. Le problème restait toujours le même : Asteria ne ressentait pas l’amour dont une mère doit donner à son enfant. « Je t’ai déjà dit, à multiples reprises, que ce n’est pas de cette manière que tu dois positionner tes bras. » Ajoutait sa mère tout en gardant le même ton de voix. Cette froideur. Cette autorité. Même après toutes ces années, Asteria devrait en avoir l’habitude. Mais ce n’était pas le cas. Ça blessait toujours. La froideur de sa mère perçait son cœur d’enfant et le craquait un peu plus à chaque fois. Comme un coup de marteau sur un clou. À chaque fois, un coup perçait un peu plus. À chaque fois, Asteria se promettait de ne plus se laisser toucher par les mots de sa mère. À chaque fois, elle échouait lamentablement. « Plus droit le dos, Asteria. » C’était toujours Asteria. Jamais, ma princesse ou ma chérie. Sa mère ne lui avait jamais donné un surnom affectueux. Pas comme son père. « Tu n’as pas la tête dans les exercices, Asteria. On recommence demain matin. » Puis, Asteria regardait sa mère s’éloigner en faisant claquer ses escarpins sur le plancher. Le seul bruit qu’Asteria entendait avant que le silence s’installe à nouveau.

LOS ANGELES, CALIFORNIA.
07 mai 2011, eighteen years old.

« J’aimerais toujours ta mère, Asteria. Elle est mon premier amour et tu es le plus beau cadeau qu’elle puisse m’a offert. » La voix de son père résonnait dans ses oreilles, elle lui faisait toujours dos. Depuis que ses parents lui avaient annoncés qu’ils divorçaient, Asteria n’avait pas adressé la parole à son père ou même sa mère. Elle ne voulait pas croire que leur histoire se terminait même si elle avait toujours été plus ou moins étrange. Très profond, Asteria avait toujours eu de la difficulté à croire que son père ait pu tomber amoureux d’une femme comme sa mère, Cruella. Ils étaient tellement différents. Son père était le feu tandis que sa mère était la glace. Asteria ressemblait beaucoup à sa manière. Elle avait grandi pour devenir une copie d’elle. Froide et princesse qui n’avait pas peur de manipuler les gens si elle en avait besoin. Asteria était comme elle. Elle le savait. Les gens autour d’elle savaient. D’où pourquoi elle n’avait pas beaucoup d’amis. « Asteria, regarde-moi, s’il-te-plaît. » Elle l’écoutait à moitié. Asteria n’avait pas envie d’entendre ce qu’il avait à dire quant aux raisons concernant son divorce. Alors qu’au fond, elle savait que c’était pour le mieux. Spencer Manning allait être heureux et épanoui loin d’une femme comme Cruella. Il allait avoir ce qui lui avait été arraché des années auparavant : le bonheur. Bonheur qu’une seule femme avait réussi à lui prendre avant de lui redonner en lui donnant une fille. Toujours dos à son père, elle l’entendait soupirer en se grattant la barbe. « J’espère qu’un jour, tu comprendras, ma puce. » Ses yeux se refermèrent dans l’espoir de combattre les larmes qui désiraient couler. « Je t’aime Asteria. » Froide et sans regret, elle ne le regardait toujours pas. Un jour, Asteria comprendrait. Simplement pas aujourd’hui.

SAN FRANCISCO, CALIFORNIA.
14 octobre 2015, twenty-two years old.

Mains sur le volant, Asteria conduisait à chantant à voix haute. Parfois, elle regardait à sa droite en riant aux éclats avec le passager. Ils passaient un bon moment ensemble, à vivre. Ils étaient heureux et cons. Cons et heureux. Certains que l’avenir leur appartenait. Ils ne se doutaient pas que ce n’était pas forcément le cas parce qu’à un moment, Asteria avait fait l’erreur de regarder la personne à sa droite. Un rire de trop. Un regard de trop. Un animal sorti de nulle part et Asteria qui tentait de l’éviter à tout prix. Un raté. La suite était ordinaire. Une scène vue des millions de fois dans les films. La même histoire à toutes les fois. La dernière chose dont Asteria vit était les faisceaux. L’instant d’après, elle se réveillait sur la civière d’une ambulance, l’ambulancier lui disant des mots qu’elle ne comprenait pas. Puis, ses yeux se refermèrent pour se rouvrir rendu à l’hôpital. Miraculeusement, Asteria allait bien. Peut-être une fracture ici et là, des plaies ici et là. La personne qui était à sa droite ? Ce n’était pas le cas. Oh non. La personne était dans un coma à cause d’Asteria. Si les parents de cette personne ne blâmaient pas Asteria, elle, elle se blâmait. Puisque c’était de sa faute et uniquement la sienne. Elle conduisait, ne regardait pas. Asteria s’en voulait de ne pas avoir été attentive. Et même si elle essayait de leur faire comprendre, ils ne comprenaient pas. Ils n’arrêtaient pas de lui dire que ce n’était pas de sa faute alors que c’était le cas. Tout était de sa faute.

SAN FRANCISCO, CALIFORNIA.
24 juillet 2017, twenty-four years old.

Les portes de l’ascenseur se referment, Asteria se retrouva seule dans celui-ci. Sur le chemin pour se rendre jusqu’à cet ascenseur, Asteria avait compté les pas : trente-six. Trente-six pas exactement. Depuis le temps qu’elle venait ici, Asteria faisait toujours le même nombre de pas. Trente-six. Pas plus. Pas moins. C’était toujours trente-six pas entre l’entrée de l’hôtel jusqu’aux ascenseurs. Avec une certaine confidence, Asteria appuyait sur le chiffre six. Pour cette chambre au sixième étage. Toujours la même chambre lorsqu’elle était disponible. Lorsque c’était impossible d’aller chez elle ou même chez lui. Tandis que l’ascenseur s’élevait dans les airs, Asteria contempla son reflet en remettant en place sa robe avant de serrer les poignées de son sac à main. Puis, un sourire heureux commença rapidement à s’afficher sur son visage. Doucement, mais sûrement. Dans un sursaut, Asteria constata que les portes s’étaient ouvertes. L’instant d’après, elle se trouvait devant la porte de chambre, fébrile tandis que sa main était occupée à déverrouiller celle-ci avec la carte magnétique. Ses pas résonnaient jusqu’à ses oreilles, son cœur battait trop vite et ses mains devenaient moites. Chaque fois qu’elle entrait dans la chambre d’hôtel, Asteria était terrifiée à l’idée qu’il ne soit pas là ou que sa fiancée soit présente avec lui après avoir découvert son infidélité. « Salut ! » Murmurait Asteria, sourire aux lèvres en s’approchant de lui pour écraser ses lèvres contre les siennes. D’une certaine manière, elle en avait envie depuis leur dernier échange. Asteria se séparait de Samaël, plongeant son regard dans le sien et ce qui arrivait les autres fois, arriva cette fois également. « On joue à un jeu dangereux, tu sais ? » Ses doigts caressaient sa peau nue, son regard échappant au sien. Ils savaient et pourtant, ils continuaient.
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 asteria manning (josephine skriver).





» ASTERIA MANNING - (415) 445-8590» (asteria) crawling back to you.» sunshine mixed with a little hurricane (asteria)» i just rolled my eyes so hard i saw my brain / asteria (fb)

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