NOM(S) & PRÉNOM(S) Libre et au choix, j'ai mis Diego pour ne pas laisser vide. A consonance hispanique si vous gardez Oscar, ce serait top. ÂGE entre 38 et 42 ans ? Par là ? à SF DEPUIS Minimum une dizaine d'année, c'est ici qu'il a fait sa carrière au sein de la police. STATUT CIVIL Célibataire, marié à son travail comme on dit. MÉTIER Il est chef de sa brigade, aujourd'hui, au sein de la police. Il a monté tous les échelons, est passé de patrouilleur à détective à chef. Il est l'un des plus jeunes, à être arrivé à ce grade si tôt, parce qu'il a littéralement dédié sa vie à son travail. CLASSE SOCIALE Plutôt bonne aujourd'hui, il a bien réussi. CARACTÈRE travailleur, déterminé, solitaire, râleur, loyal, au choix AVATAR Oscar Isaac, Wentworth Miller, Jake Gyllenhaal, autre.
Louise Ambrose
jeune collègue Louise a rejoint les rangs de la police il y a un peu plus de six ans. Jeune recrue, elle s'est très vite faite remarquer par son caractère impulsif, sa grande gueule et sa manie de se mêler de ce qui ne la regarde pas. Il y a quatre ans, elle a rejoint la brigade de Diego et a enfin pu réaliser son rêve de mener des enquêtes. Et elle est douée, dans son boulot, mais elle reste toujours aussi difficile à gérer, trop fougueuse, et prend encore des risques inutiles. Diego ne sait pas comment l'aborder, comment s'imposer sans que tout n'explose. Avec le temps, en plus, il a eu la bonne idée de s'enticher de la demoiselle, qui lui rappelle énormément ses débuts à lui. Depuis quelques mois, des tensions règnent entre eux. Il a eu la bonne idée de l'embrasser, un soir. Elle gueulait trop, il était fatigué et il avait juste envie de rentrer chez lui. Ça a eu le mérite de la faire taire, au moins. Ils n'en ont jamais reparlé, mais depuis Louise cherche à pousser les limites trop loin. Elle ignore ses ordres, n'en fait qu'à sa tête, prend toujours trop de risques. Elle aussi est attirée par Diego, mais se refuse de l'admettre. Dans tous les cas, ils se cherchent sans le vouloir et ça risque de mal se terminer.
Bout de ma fiche:
que vous pouvez lire ici pour plus de facilitéParce que flirter un collègue de quatre ans son aîné c'est mal, mais une dizaine d'années... ? Bon. Alors pour la petite histoire, je n'ai pas fait exprès. Disons que la seconde année au sein du poste s'est beaucoup mon bien déroulée que la première. Mon caractère de merde et mon fort tempérament m'ont vite rattrapé. Pour commencer, j'ai envoyer paître Edward. Et j'ai clairement fait comprendre à Asher que je ne sortirais pas avec lui. Et il m'a aussi clairement fait comprendre que ce n'était pas ce qu'il voulait. Du coup j'me suis sentie conne, et il a arrêté d'être si lourd. Maintenant, il est un peu moins lourd, et agréable à vivre. Je pouvais désormais me fixer sur mon objectif : quitter les patrouilleurs et entrer dans une brigade pour mener de vrais enquêtes. Ce que j'ai fini par faire, au bout de deux ans. Je me suis rapidement entendu avec mes nouveaux collègues. Même s'ils étaient tous plus âgés que moi et avaient l'habitude les uns des autres, et même si j'avais ma réputation de chieuse qui me collait à la peau. Je faisais mon boulot, au moins, et je le faisais bien.
Ma relation avec mon supérieur direct est plus... Conflictuelle. Il arrive, trop souvent, que je ne respecte pas les ordres. Ou que je ne l'envoie promener pour n'en faire qu'à ma tête. Et je pensais qu'il me détestais, vraiment. En toute logique. Et je n'avais pas remarqué qu'il y avait de la tension entre nous, jusqu'à ce qu'il m'embrasse de façon impromptue lors d'une énième dispute. C'était il y a quelques mois, et franchement j'étais pas prête. Sur le coup, ça m'avait encore plus énervée. Dites-donc, les fantasmes de faire ça au travail, ça va bien mais non merci ! Et maintenant, je ne sais plus. Parce que nos échanges sont trop fréquents, parce que je fais trop souvent ce qui ne m'est pas demandé et que c'est surtout devenue une habitude. De pousser les limites pour voir jusqu'où ça peut aller.
« Ambrose ! Le boss veut te voir. » Asher est passé devant moi, Asher est revenu en moonwalk et Asher m'informe aimablement que je suis - encore - convoquée. Et moi, j'avais fini ma journée et j'étais prête à aller aux vestiaires me changer pour pouvoir rentrer chez moi mais... Eurg, ok. « Tu crois que ça peut attendre demain ? » Je demande tout de même, toute pleine d'espoir. Au cas où. On n'sait jamais. J'dis ça j'dis rien... Puis l'espoir ne tue pas, alors pourquoi pas ? « Non. » Qu'il me répond simplement avant de se mettre à sourire face à mon air renfrogné. « Oh aller, tu as fait du bon boulot aujourd'hui ! Peut-être qu'il te félicitera ! » Oubliez mes pensées positives sur l'espoir. C't'un connard. Et la vie est nulle. Je grimace un sourire à Asher et le suis jusqu'à l'étage des grands. Moi, j'vais me faire engueuler, excusez-moi laissez passer !
Lorsque je frappe à la porte de son bureau, je n'attends pas bien longtemps avant qu'il ne relève la tête, remarque ma présence grâce à la vitre de la porte et me fasse signe d'entrer. Bien, bien... « Fermez-la porte, Ambrose ! » Qu'il fait avec sa voix grave, pratique pour donner des ordre. Je me retiens de lever les yeux au ciel, fais ce qu'il m'a demandé. « Je m’assoie ? » Je demande d'un ton un peu insolent. Autrement dit, ça va être long ? Il me regarde un peu durement, du regard qui dit que c'est lui le chef. Chef oui chef. Il finit par m'inviter à prendre place dans un fauteuil face au bureau, ce que je fais sans rechigner. Ça va être long. « Louise, je ne sais plus quoi faire de toi. » Ah, c'est triste ça un peu. Non, parce que quand on dirige une équipe entière et qu'on ne sait pas quoi faire... C'est pas cool. Mais que voulez-vous, je suis un électron libre. Qui peut perdre son job d'un jour à l'autre. Mais un électron libre tout de même. « Oh j'sais pas, vous pouvez peut-être me donner une promotion ? » Je propose avec un sourire tout innocent. Il garde son air neutre quelques secondes encore, me jugeant sans doute, avant de se mettre à sourire légèrement. « Est-ce que je fais la répartie vulgaire qui nous amènera à nous disputer ? » Je plisse les yeux, réfléchissant à quelle peut être cette répartie vulgaire et... Ah oui ! Ok. Non. « Non, ça ira ! Merci de l'offre ! » Mais j'ai compris le message. Je me calme. Je suis sage comme une image animée ! Parce que je peux pas être trop sage non plus. Faut arrêter de croire au Père Noël. « Tu as fait du bon boulot aujourd'hui. Mais pas le tien. Et tu as eu de la chance d'avoir eu une bonne intuition, parce que sinon tu aurais fait foirer toute l'enquête. Il faut vraiment que tu arrêtes, Louise... » Et en fait, j'aime pas quand il prend un ton gentil. « Mais... » Il lève la main et je me tais. J'ai honte, mais je me tais.
« T'es une bonne flic. Mais t'es trop jeune, tu peux pas te permettre de prendre des risques. » Hastag l'excuse. « Et je suis une femme ? » C'est plutôt ça, le problème. « Oui. Et je m'en voudrais s'il t'arrivait quelque chose. » Je ris nerveusement, prête à prouver que je suis parfaitement capable de me défendre seule. « J'ai suivi le même entraînement que tous les hommes ici ! Et je suis parfaitement capable de me défendre, et d'attaquer et non, je suis désolée, mais c'est pas un argument ! » Bon en fait, je suis pas désolée. Je suis surtout très en colère, d'avoir toujours à me justifier et me défendre sous prétexte que mes chromosomes ne suivent pas la norme imposée par le genre opposé. « J'ai pas voulu dire ça dans ce sens là. » Il finit par dire après un temps de réflexion. Je reste silencieuse. Ah oui ? Mais alors dans quel sens ? Dans le sens, ce serait dommage de perdre une bonne policière comme toi ? Ou dans le sens, non mais en fait je t'apprécie un peu plus que bien et je serai triste que tu décèdes subitement à cause de l'un de mes plans foireux ? Il pousse un soupir, se lève de sa chaise et commence à faire le tour du bureau. Je me lève également, parce que mon instinct me dit de prendre mes jambes à mon cou. « Vous êtes... » Là, je suis en manque de vocabulaire pour le décrire. « Louise... » Oui, mais non. « Non ! Vous êtes juste incapable d'accepter qu'une femme puisse faire votre boulot ! Allez vous faire voir ! » La politesse étant dite, je pousse la chaise d'un coup de pied dans sa direction avant de partir, énervée, vers les vestiaires. Les gars, faut se calmer cinq secondes. Je ne suis ni un objet de désir, ni un instrument de torture. Je ne suis pas une pintade comme ma sœur, on n'a pas besoin de s'inquiéter de mon sort... Et je ne suis pas attirée par mon patron ! Merde alors !
LE MESSAGE DU CRÉATEUR Salut salut ! J'espère que le scénario vous intéresse un tantinet et que vous envisagez de le prendre. Pour ce qui est de l'histoire, je la laisse grandement libre il faut juste retenir que son travail c'est sa vie. Pour le lien on peut en discuter, mais je vois quelque chose de compliqué et de angsty ahah. Et pour ce qui est du reste, tout est libre et/ou négociable ! A noter aussi que des pré-liens avec des collègues ne devraient pas tarder à arriver, donc des liens en plus pour vous En bref, il ne vous reste plus qu'à vous inscrire